Perspectives
Nous courons après, nous nous angoissons à son sujet quand il vient à manquer, nous nous réjouissons quand nous en avons... L’argent est pour beaucoup d’entre nous une préoccupation quotidienne, et un sujet parfois sensible car il touche à des questions telles que l’estime de soi, la reconnaissance sociale, ou la simple survie. Pas simple de s’y retrouver ! Que nous dit le bouddhisme à son propos ?
Comment expliquer que les mêmes circonstances – le même travail, par exemple – peuvent être vécues par telle personne comme une souffrance, par telle autre comme un défi exaltant, et que telle autre encore y trouvera le moyen d'aider et d'encourager son entourage ? Le principe des « dix états » répond à cette question.
Dans les pays latino-américains, où le problème endémique des travailleurs ruraux se complexifie, le Mouvement des travailleurs sans-terre présente un front uni et ne lâche rien dans sa lutte pour la réforme agraire.
L'apparition des bodhisattvas qui sortent de terre, dans le quinzième chapitre du Sûtra du Lotus, suscite la stupeur parmi les proches disciples de Shakyamuni. Comment le Bouddha a-t-il pu convertir autant d'êtres en une vie ? La révélation de l'éternité de la vie du Bouddha, dans le chapitre suivant, lève l'interrogation.
L'être humain peut-il se changer lui-même ? Le but du bouddhisme de Nichiren est justement d'opérer une transformation radicale dans les profondeurs de sa propre vie, ou « révolution humaine ». Cette expression, inventée par Josei Toda, deuxième président fondateur de la Soka Gakkai, décrit le processus de changement intérieur enclenché par une personne dès lors qu'elle s'engage sur la voie bouddhique.
Au-delà des documentaires qui alertent sur l’état de l’agriculture mondiale et la destruction de la biodiversité, ce film de Coline Serreau donne la parole à ceux qui inventent des systèmes de production agricole respectueux de la terre.
Ancien moine zen et ex-rédacteur en chef du journal bouddhiste américain Tricycle, Clark Strand a étudié de près le mouvement de la Soka Gakkai internationale (SGI) et publié un livre sur le sujet.
Le lotus est une plante considérée comme sacrée depuis l'Antiquité en Inde, ainsi que dans de nombreuses autres cultures. La symbolique associée à sa fleur est très riche : sa beauté évoque la fertilité, la prospérité, la longévité, ou encore, du fait que les graines de lotus durent très longtemps, l’éternité de la vie.
La dénomination « art brut » fut inventée en 1944 par l’artiste plasticien Jean Dubuffet1 pour désigner les productions de personnes « indemnes de culture artistique », étrangères « au professionnalisme de l’art ». L’ouvrage Mondes imaginaires présente les oeuvres de ces créateurs autodidactes.
Votre to-do list de rentrée ressemble à une saga en plusieurs tomes ? Vous croulez sous les tâches et les défis qui s’enchaînent ? Le mois de septembre vient à peine de commencer et vous êtes déjà à bout ? Voici quelques conseils, puisés dans la philosophie bouddhique, pour trouver un nouveau souffle face au stress…
L’expression « Le bouddhisme est victoire ou défaite » dans le bouddhisme de Nichiren ne renvoie pas à l’image paisible qu’on se fait habituellement du bouddhisme. Une telle notion peut même, de prime abord, paraître comme une invitation au conflit. Pourtant, elle ne décrit absolument pas une confrontation entre individus, mais plutôt le combat intérieur qui se joue dans le cœur de chacun.
En tous lieux et à toutes les époques, la spiritualité du « roi des sûtras » a été la source d'un grand renouveau artistique, notamment dans le domaine musical. Célébrant la voix et le son pour leur capacité à toucher le coeur humain et y insuffler les sentiments les plus positifs, le courant du Sûtra du Lotus a toujours accordé une place privilégiée à cette forme d'expression.
Cet ouvrage d'initiation au bouddhisme, qui a connu un grand succès aux États-Unis, indique la manière la plus moderne, la plus efficace et la plus pratique pour réaliser ce que l'on appelle illumination ou « état de bouddha »...
Personne n’échappe à la question du Bien et du Mal, car nous devons constamment faire des choix, prendre des décisions et nous avons besoin de fils conducteurs. Le bouddhisme, dont la sagesse unit ces deux notions en apparence opposées, nous donne des éléments de réponse.
Parmi les témoignages les plus emblématiques de la possible universalité de l’homme, figure sans aucun doute l’oeuvre du pilote et écrivain français Antoine de Saint-Exupéry, auteur de la mythique histoire du Petit Prince.
Nous sommes responsables de notre destinée et influons sur celle de l’humanité. L’avenir de tous dépend de ce que chacun décide aujourd’hui.
Le bouddhisme propose une voie de développement – la “révolution humaine” – qui, comme toute voie spirituelle, s'assimile plus à une course de fond qu'à un sprint... Ainsi, il est certain que la personne qui persévère correctement dans sa pratique peut expérimenter un épanouissement significatif au fil du temps.
Au premier abord, le titre de l’ouvrage ferait fuir tout adepte du bouddhisme, et ceux du bouddhisme de Nichiren en particulier, tant la pratique du bouddhisme n’a rien à voir avec « le culte du néant »...
Les enseignements bouddhiques sont connus pour accorder une grande importance à la sagesse, et il est facile de voir pourquoi. Le manque de sagesse, ou ignorance, est la cause de bien des problèmes qui affectent la société humaine, aux échelles aussi bien globales que locales.
La foi, ou croyance, et la raison sont jugées en général comme fondamentalement opposées. Beaucoup de personnes estiment que toute forme de croyance, la croyance religieuse en particulier, dénote une capacité de raisonnement insuffisante ou constitue une béquille intellectuelle. Pourtant cette âpre opposition supposée entre croyance et raison, issue de la pensée moderne, est aujourd’hui réexaminée.