Perspectives
Publié en 1916 aux Presses universitaires d'Harvard sous le titre Nichiren, the buddhist prophet, cet ouvrage présente une des premières études académiques de la vie et de la doctrine de Nichiren.
Nichiren (1222-1282) était un moine bouddhiste japonais de l’époque de Kamakura, au XIIIe siècle. Il établit la forme de bouddhisme pratiquée aujourd'hui au sein du mouvement Soka. Figure marquante de l’histoire religieuse du Japon, sa profonde préoccupation pour le bien-être des gens ordinaires – comme en témoignent ses nombreuses lettres adressées à ses disciples – le conduisit à s'opposer fermement aux écoles bouddhistes établies et aux autorités laïques de son temps.
Par Shinichi Kogure, professeur à l’université Soka de Tokyo. Traduit de l’anglais The Viewpoints of the Buddhism toward Life Sciences, paru dans le Journal of Oriental studies, vol. 12, en 2002.
Le bouddhisme enseigne qu’au-delà de la naissance et de la mort qui délimitent notre existence physique, l’essence de notre vie perdure éternellement. Dans cette conception, la vie et la mort ne s’opposent pas. Elles sont les deux phases alternées de la vie éternelle, que Nichiren Daishonin a identifiée à la Loi merveilleuse : Myoho-renge-kyo.
Elisabeth livre son témoignage de persévérance, d’optimisme et d’actions concrètes dans son voisinage en tant que citoyenne.
Les écrits bouddhiques dépeignent Vimalakirti comme un riche marchand de la ville de Vaishali, qui vécut du temps du bouddha Shakyamuni et fut l’un de ses plus brillants disciples laïcs.
Traduit de l’essai The Buddhist Concept of the Human Being: From the Viewpoint of the Philosophy of the Soka Gakkai, du Dr Mikio Matsuoka, chercheur à l'IOP, directeur des Etudes doctrinales de l'Association des moines réformés. Publié dans le Journal of Oriental Studies, vol. 15, 2005.
On rapporte qu'Ananda, l'un des plus proches disciples du Bouddha Shakyamuni, lui demanda un jour : « Il me semble que, en ayant de bons amis et en avançant avec eux, on est déjà à moitié engagé sur la voie du Bouddha. Cette façon de penser est-elle correcte ? »
Par Yoichi Kawada, directeur de l’Institut de Philosophie Orientale (IOP), Tokyo. Traduit de l'essai A Vision of Peace in the Lotus Sutra, publié dans Journal of Oriental Studies, vol. 17, 2007.
Dans la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI. Randoll Encarnacion, un ingénieur en informatique aux Philippines, s'est inspiré du bouddhisme pour sortir de la pauvreté et donner de l’espoir aux autres.
Après avoir contemplé notre planète depuis l'espace, certains astronautes rapportent avoir ressenti un choc cognitif et émotionnel puissant, appelé “l'effet de vue d'ensemble”. La perspective de notre Terre, regorgeant de vie, flottant dans le vide spatial, semble déclencher une prise de conscience transformatrice...
Se changer soi-même n’est pas aisé. Quiconque a déjà essayé de tenir ses bonnes résolutions du Nouvel an le sait. Améliorer, ne serait-ce qu’un simple aspect de son comportement, demande une forte détermination. Car notre vie semble contenir une résistance innée au changement au moins aussi forte que notre désir de nous améliorer.
Par Hiroshi Kanno. Extraits traduits de l'essai The Core of Shakyamuni Buddha's Teachings and the Distinctive Features of the Lotus Sûtra, paru dans Journal of Oriental Studies, vol. 19, 2009.
Le roi Ashoka* est probablement l'un des plus grands souverains que la Terre ait connu. Dans l'Inde du IIIe siècle av. J.-C., son adhésion au bouddhisme lui a permis d'incarner une révolution humaine courageuse et engagée.
Conférence donnée par Dennis Gira, théologien, professeur à l’Institut catholique de Paris et spécialiste du bouddhisme, le 17 mai 2002, au centre bouddhique Soka de Paris-Opéra.
Ce court métrage tiré de la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI présente Ana Terra, orthophoniste à Sao Paulo. Elle encourage de jeunes artistes à se développer à travers des ateliers de rap.
Créée au sortir de l'horreur de la Seconde Guerre mondiale, le 24 octobre 1945, l'Organisation des Nations unies (ONU) est un forum mondial permettant le règlement pacifique des différends entre Nations du monde, ainsi que le maintien de la paix et de la sécurité internationales. Où en est-on aujourd'hui ?
Siddharta Gautama, dit Shakyamuni, vécut dans le nord de l’Inde il y a environ 2 500 ans. Héritier des Shakya dont le royaume se trouvait sur les contreforts de l’Himalaya, il renonça à sa vie princière pour rechercher une solution aux souffrances des êtres humains.
Le bouddhisme enseigne que la loi de cause et d’effet sous-tend le fonctionnement de toute chose. En particulier, les pensées, paroles et actes positifs créent des effets positifs dans la vie des personnes qui les accomplissent, menant au bonheur. A l’inverse, les pensées, paroles et actes négatifs – actions qui s’opposent à la dignité de la vie – mènent au malheur. Ceci est le principe général du karma.
Conférence donnée par M. Fumihiko Sueki, professeur de littérature à l’université de Tokyo et spécialiste de la philosophie indienne et du bouddhisme, le 11 janvier 2002, au Centre culturel Opéra.