Perspectives
Le bouddhisme souligne l’importance de regarder en face la réalité de la mort. Avec la naissance, la maladie et la vieillesse, la mort est définie comme l’une des quatre souffrances fondamentales que chacun doit affronter.
Si le manque de confiance ou l'inquiétude semblent parfois naturels, voire instinctifs, le bonheur, la liberté ou le courage ne tombent pas du ciel. Ils se décident et se cultivent. La plupart du temps, nous nous croyons libre et autonome, mais le sommes-nous vraiment ? Les décisions que nous prenons sont-elles toujours conscientes ?
Avec la réhabilitation du Kantha en Inde, un art traditionnel de la broderie et un précieux savoir-faire ont pu être préservés. Au Bengale et au Bangladesh, 1300 femmes ont ainsi pu obtenir de meilleures conditions de vie, mais aussi une vraie reconnaissance au sein de leur communauté et de leur famille.
Le bouddhisme considère la vie comme une unité du physique et du spirituel. Il considère toutes les choses, matérielles ou spirituelles, visibles ou invisibles, comme des manifestations de la même loi universelle, définie dans la tradition de Nichiren sous le nom de Myoho Renge Kyo. Les aspects physiques et spirituels de notre vie sont totalement inséparables et d’importance égale. Ce principe est contenu dans l’expression japonaise “shikishin funi”.
Théologien catholique et spécialiste du bouddhisme, Dennis Gira est engagé dans le dialogue interreligieux. Il a expérimenté les joies, mais aussi les écueils d’un authentique dialogue. Son dernier livre en témoigne.
Les températures baissent, et le moral aussi. Le soleil se fait timide, et nous luttons pour ne pas laisser notre cœur s’assombrir… Pourquoi ne pas tirer profit de cette période difficile pour gagner en force intérieure ? Et ainsi pouvoir affirmer, en empruntant les mots d’Albert Camus : « En plein hiver j’ai découvert en moi un invincible été »...
Le principe bouddhique de la non-dualité de la vie et de son environnement (jap. : esho funi*) signifie que la vie et son environnement sont inséparables. Autrement dit, bien que nous percevions notre environnement – les choses et les êtres – comme étant séparé de nous, il y a une dimension de notre vie qui ne fait qu’un avec tout ce qui nous entoure. Le bouddhisme enseigne que la vie se manifeste aussi bien dans un sujet vivant que dans son environnement.
L’espèce humaine est, aujourd’hui, confrontée à l’épuisement des ressources terrestres. Pour le géophysicien André Lebeau, la survie de la société humaine passe par une transformation radicale de sa structure et de ses comportements.
Nous vivons dans l'ère de la communication, dans laquelle des personnes aux quatre coins de la planète peuvent se connecter entre elles avec une facilité et une rapidité sans précédent. Les gens peuvent créer des liens, se rencontrer et maintenir le contact avec les autres au sein de leurs propres communautés et dans le monde entier grâce aux nouvelles technologies des médias, et une grande quantité de savoir et d'informations est maintenant accessible. Mais qu'en est-il de la qualité de la communication par rapport à sa vitesse ou sa quantité ?
Le bouddhisme, malgré la sympathie qu’il suscite, demeure aux yeux du grand public une spiritualité aux contours flous... Comment s'y retrouver parmi la diversité des courants et des écoles, et le foisonnement de concepts peu familiers ? Le bouddhisme de Nichiren, en particulier, a de quoi bouleverser toutes les idées reçues ! Petit tour d’horizon.
Déclarée il y a cent ans, la guerre qu'on avait « der des der » est particulièrement meurtrière. Le conflit s'étend au monde entier. Sa commémoration marque la nécessité d'en transmettre la mémoire, en hommage à ceux qui vécurent cette tragédie et firent le sacrifice de leur vie.
L’enseignement bouddhique des neuf consciences est essentiel pour comprendre parfaitement qui nous sommes et quelle est notre véritable identité. Il nous permet notamment de comprendre comment notre vie se perpétue à travers le cycle des naissances et des morts.
Né à Oslo (Norvège) en 1930, Johan Galtung, sociologue et mathématicien, est considéré comme l’un des pionniers des études modernes sur la paix.
Contrastant avec les religions monothéistes de l’Occident, le bouddhisme offre depuis quelque 2500 ans une voie spirituelle venue d’Orient qui ne suppose ni âme ni Dieu créateur.
Si la gratitude est louée par toutes les spiritualités, elle demeure un sentiment complexe et n'est pas facile à éprouver. Robert Emmons démontre qu'elle rencontre de nombreux obstacles liés à notre égoïsme.
Le bouddhisme promet bonheur authentique en ce monde et dans les vies futures. Mais combien de défis, et lesquels, avant de transformer « un coeur assombri par les illusions en clair miroir qui reflète l'éveil », comme nous y enjoint Nichiren Daishonin ?
Pour beaucoup, le mot “bouddha” évoque l'image d'un être quasi-divin, qui se tient en toute sérénité à distance du monde et de son tumulte. Il a atteint la paix du nirvana, échappant ainsi aux souffrances, désirs et illusions qui affligent le commun des mortels. Cela ne correspond pourtant pas à ce que l'on sait de la vie du Bouddha historique, Shakyamuni...
Le destin existe-t-il ? Pouvons-nous le changer ? Le bouddhisme de Nichiren nous permet de révolutionner notre état de vie intérieur, changer le cours de notre existence et construire un bonheur qu’aucun coup du sort ne peut détruire...
Le bouddhisme tibétain attire nombre d'occidentaux. Parce que la question des liens entre le bouddhisme tibétain et le bouddhisme de Nichiren est régulièrement posée, penchons nous sur cette tradition, son histoire et les éléments qui la rapproche ou la distingue de celle du bouddhisme de Nichiren.
Dans le livre Mon chemin, paru en septembre 2008, l’écrivain et sociologue Edgar Morin se livre à une journaliste, parle de sa vie, de ses passions, de ses combats. Lucide, mais optimiste, il se découvre un homme épris de paix et de cohésion sociale, le tout couronné par une belle humilité.